Par les élèves du Lycée de la Vallée de Chevreuse (Gif sur Yvette)
BELLOT Guillaume, QUESADA Timothée, MASSIOT Justin, REVE Rémi  

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CONCLUSION


          Le principe de fonctionnement d'un train à sustentation magnétique peut être divisé en deux parties : la lévitation et la propulsion. La lévitation est possible grâce à la suspension électromagnétique produit par des électroaimant situés sur les rails et sous le train. La propulsion est aussi due a cette technique mais elle est plus complexe. Le mouvement est produit par un moteur linéaire synchrone à stator long. La vitesse du train varie en fonction du courant alternatif qui est envoyé dans les bobinages de la voie, mais aussi grâce à l'ajustement de la fréquence. Grâce à tout cela les trains à sustentation peuvent atteindre des vitesses de plus de 500 km/h.
          Le freinage est lui aussi assuré par le moteur linéaire mais d'un façon inverse pour réduire la vitesse. Il est accompagné par des aérofreins situés sur le haut du train et qui permettent d'augmenter les frottements de l'air et donc de freiner encore plus la machine.
Le fonctionnement de ce train est basé sur l'électromagnétisme qui permet de faire léviter, propulser et freiner. Il peut être remplacer par la supraconductivité qui est le fait que certains matériaux conduisent le courant électrique sans résistance, le champ magnétique est donc plus fort. Cette technique nécessite toutefois une température extrêmement basse qu'on ne peut atteindre qu'en conservant les électroaimants dans un bain d'hélium ou d'azote liquide, puisque le diamagnétique parfait (un matériau qui serait supraconducteur à température ambiante) n'a pas encore été trouvé. Cela s'avère donc assez dangereux et difficile à réaliser.
          Cette nouvelle technologie promet un avenir futuriste mais elle est relativement coûteuse et les gouvernements hésitent à la développer alors qu'elle permet des trains plus rapides, plus sécurisés, moins bruyant et consomme moins qu'un TGV par exemple. Tous ces avantages font qu'ils sont en développement dans de nombreux pays tels que la Chine, la Suisse, l'Allemagne et bien d'autres. Espérons que d'autres pays feront confiance à cette technologie au contraire de la France qui à misé sur le TGV.




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